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La défense de vos droits par l'écoute active

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L'écoute active au service de la résolution et de la prévention des différends

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l’écoute mutuelle est au cœur des préoccupations du médiateur comme de l’analyste et constitue un réel enjeu dans la résolution des différends... pour s’en convaincre l’approche analytique symbolique est d’un secours fondamentale... et toute pratique ou activité en ce sens est à développer ...  ( cf https://rachelbrossat.wixsite.com/associationdurveaurv )

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Une Réforme qui revient… ou une opportunité à saisir !

“Une Reforme qui revient ou une opportunité à saisir !
Curieuse manière que celle d’un texte annulé qui est réintroduit… c’est ainsi que l’article 750-1 du CPC vient d’être rétabli…La copie semblait en effet devoir être revue selon le Conseil d’Etat…Alors pourquoi ne pas approfondir la notion même de tentative… pour cette fois transformer l’essai…
Rappel des textes :
Selon l’ Article 4 du Décret n° 2023-357 du 11 mai 2023 relatif à la tentative préalable obligatoire de médiation, de conciliation ou de procédure participative en matière civile, les dispositions des articles 1er et 2 du présent décret sont applicables aux instances introduites à compter du 1er octobre 2023.L’article 1er dudit décret reinstaure donc depuis cette date l’obligation préalable d’une tentative de résolution amiable à peine d’irrecevabilité… Le champ est limité mais mérite d’être précisé L'article 750-1 du code de procédure civile est rétabli dans la rédaction suivante :
« Art. 750-1.-En application de l'article 4 de la loi n° 2016-1547 du 18 novembre 2016, à peine d'irrecevabilité que le juge peut prononcer d'office, la demande en justice est précédée, au choix des parties, d'une tentative de conciliation menée par un conciliateur de justice, d'une tentative de médiation ou d'une tentative de procédure participative, lorsqu'elle tend au paiement d'une somme n'excédant pas 5 000 euros ou lorsqu'elle est relative à l'une des actions mentionnées aux articles R. 211-3-4 et R. 211-3-8 du code de l'organisation judiciaire ou à un trouble anormal de voisinage. 
« Les parties sont dispensées de l'obligation mentionnée au premier alinéa dans les cas suivants : 
« 1° Si l'une des parties au moins sollicite l'homologation d'un accord ; 
« 2° Lorsque l'exercice d'un recours préalable est imposé auprès de l'auteur de la décision ; 
« 3° Si l'absence de recours à l'un des modes de résolution amiable mentionnés au premier alinéa est justifiée par un motif légitime tenant soit à l'urgence manifeste, soit aux circonstances de l'espèce rendant impossible une telle tentative ou nécessitant qu'une décision soit rendue non contradictoirement, soit à l'indisponibilité de conciliateurs de justice entraînant l'organisation de la première réunion de conciliation dans un délai supérieur à trois mois à compter de la saisine d'un conciliateur ; le demandeur justifie par tout moyen de la saisine et de ses suites ; 
« 4° Si le juge ou l'autorité administrative doit, en application d'une disposition particulière, procéder à une tentative préalable de conciliation ; 
« 5° Si le créancier a vainement engagé une procédure simplifiée de recouvrement des petites créances, conformément à l'article L. 125-1 du code des procédures civiles d'exécution. »
Pour la Médiation, après le domaine de la famille, il s’agit donc de participer à l’œuvre de paix dans les domaines qui empoisonnent la vie, mais dont les enjeux financiers ne justifient pas des frais de justice trop lourds…Pour autant, la Mediation nécessite du temps et un investissement sincère qui ne laisse aucune place à l’improvisation.La formation professionnelle des Médiateurs offre une garantie d’écoute nécessaire à la transformation des circonstances souhaitée.L’écueil vient cependant souvent de l’absence de réciprocité dans ce vœu car une seule des parties se sent réellement concernée, touchée dans son intégrité.Il s’agit bien de cela : la partie qui revendique un droit est mobilisée par une atteinte au respect des limites posées à son espace…L’autre, de plus ou moins bonne foi, est souvent maintenu dans l’ignorance du trouble causé… jusqu’à la crise provoquée par la nécessité de rétablir chacun dans son droit…Alors que faire quand le dialogue est rompu…Le législateur impose ici de justifier d’une tentative préalable de résolution amiable. Une simple invitation d’un médiateur à se présenter lors d’un entretien pour rentrer en médiation nécessite donc de s’entretenir a minima avec le demandeur.Il ne s’agit donc pas de se contenter de délivrer des certificats d’échec d’entrée en médiation pour défaut de réponse par le défendeur à l’invitation de rencontrer le médiateur.Il s’agit plutôt de rencontrer pour un premier entretien individuel le demandeur en médiation et ensuite le défendeur.Car un entretien individuel de médiation va bien au-delà de la simple information… les praticiens de l’approche systémique  savent que dans un système en crise, toute modification de position engage l’ensemble du système…Il appartient donc à chacun de s’engager à sa mesure dans la démarche de tentative de résolution amiable et de ne pas considérer comme un échec l’absence de réunion collégiale.Prendre conscience que s’ouvrir au dialogue est une nécessité personnelle avant d’être légale est un pas significatif que cette disposition légale vient rappeler et promouvoir.Il nous appartient de lui donner toute sa valeur en ne la réduisant pas à une formalité administrative.
Rachel SARAGA”

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Le Journal d’un Médiateur - Avocat

“Les émotions en médiation, parlons-en ! Pourquoi ?
Parce que des émotions jaillissent d’un conflit, il est vain de vouloir les esquiver… alors préférons aller à leur rencontre pour en comprendre le sens…
Parce qu’elle s’impose on ne peut pas en faire l’économie !
Parce qu’elle est vérité on ne peut pas l’ignorer !
Mais de quelle vérité parlons nous ?
Celle qui hurle son désir d’être entendue… une vérité intérieure avant d’être projetée à l’extérieure…
Ainsi, dès lors que tout conflit génère une émotion, l’expression des émotions dans le contexte d’une médiation constitue une étape cruciale dans ce mode amiable de règlement des conflits. 
Les émotions peuvent tout à la fois favoriser le processus de règlement en procurant un meilleur éclairage à la nature du conflit, et/ou le freiner en empêchant le dialogue entre les parties. 
Dans son intervention, le médiateur est donc appelé à les prendre en considération, à en favoriser l’expression constructive et à les gérer. 
À cet égard, il doit faire preuve d’une grande intelligence émotionnelle et préserver la neutralité de son rôle complexe. 
Cette forme d’intelligence mérite d’être développée dès les études de droit où les émotions sont malheureusement scrupuleusement évacuées des programmes universitaires et de l’école professionnelle. 
Pareille approche implique rien de moins qu’une redéfinition du rôle de l’avocat, intervenant sensible aux émotions, à l’écoute de l’autre et recentré sur la relation d’aide dans une perspective non adversative.
C’est toute la vision de la société qui est ici refondée. Un grand rêve que celui-ci n’est ce pas ?
Mais  Carl Gustav Jung n’écrivait il pas : “Sans émotions, il est impossible de transformer les ténèbres en lumière et l’apathie en mouvement.”
Alors on s’y met ?

Rachel SARAGA”

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On se lance en médiation ?!

“ L’expérience le démontre la médiation progresse … lentement… 


Soutenue par des textes et des institutions, elle nécessite de la maturité…

J’ose ici une hypothèse : et si le conflit qui m’oppose à cet autre était une opportunité… de grandir ?!

Vous me direz nous sommes adultes, nous votons, nous avons des responsabilités ! Mais que connaissez vous des rouages qui vous animent ? 

Pensez vous vraiment être en mesure de tout contrôler ? 

Un conflit qui s’enlise n’est il pas la faillite d’un système ? 

Carl Gustave Jung grand penseur de l’âme humaine y aurait sans doute vu une synchronicité signifiante méritant d’être approchée par le langage symbolique… il avancerait que cet événement conflictuel est peut être une projection d’un conflit intérieur qu’il nous faut rencontrer… 

Qui n’a pas eu ce sentiment de rejouer dans tel ou tel séparation ou situation une histoire bien connue…?

Quel mythe est le nôtre ?

Ce qui est certain c’est que cette aventure humaine est là, on ne peut l’éviter … en revanche on peut l’accompagner et en pacifier les aspects les plus incisifs…

C’est ici l’idée qu’une difficulté relationnelle prise en charge en amont aura une chance de ne pas s’envenimer…

C’est l’idée que rentrer en médiation est en définitive une profession de foi… tant que l’intention n’est pas mûrie et exprimée la rencontre transformatrice des circonstances ne se fait pas. 

Certains diront même que la catharsis nécessite de confronter son opposé… front contre front…

Alors oui la médiation intérieure est à mon sens le préalable à la médiation extérieure… elle lui offre une qualité d’écoute introspective pleine d’humilité… et cette écoute profonde est un exercice délicat qui nécessite d’accorder du temps et de la tendresse.

Qui ne s’ouvre pas à cette écoute ne peut pas rentrer en médiation… au mieux il participera à une négociation.

C’est donc bien de grandir dont il est question… 


Rachel SARAGA”

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